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Le 5 mars on fêtera, en musique, un drame national : celui des pauvres qui n’ont rien à manger, s'habiller ou s’abriter.
Cela fait 36 ans que cela dure dans quasiment l’indifférence d’une société égoïste qui ne pense qu’à sauver sa peau à grand renfort de vaccins Pfizer ou AstraZeneca.
En 1985 : 1,2 millions de pauvres sont concernés… en 2021 : 12 millions ! Chanter pour manger, une vieille rengaine de la pauvreté absolue où les piécettes alternaient entre œufs pourris et détritus lancés sur les indigents pour les chasser plus loin.
Dans le même temps, on ne compte plus les milliards € évaporés des caisses publiques par les renards de la politique.
Plus fort ! les dernières sanctions judiciaires contestées publiquement à leur tour par l’élite bien-pensante ; vous savez, celle qui veut que la fête continue sans s’arrêter.
Les juges "rouges" (dixit les détracteurs) contre la mafia en "col blanc" (dixit les bernés) toujours prête à en découdre par la manipulation des faits. La même mafia qui s’offre les meilleurs plaideurs pour contourner les lois qu’elle vote pour les autres.
Le baromètre catastrophique (OpinionWay) où 77% des français rejettent la classe politique ne décourage pas une nouvelle génération d’opportunistes qui galope derrière le moindre mandat.
Oui ! les enfoirés sont toujours là, aux aguets de la moindre faiblesse populaire avide de contes de fées, en échange d’un bulletin de vote. Ceux-là ne chantent pas, ils braillent après ceux qui les empêchent de faire leur shopping électoral, pendant que les autres chantent le désespoir des pauvres avec leur coeur !

 


 

Tag(s) : #Politique
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