Les Cavaliers de l’Apocalypse se mettent "démocratiquement" en place sous notre nez. L’un veut redresser les Etats Unis ; l’autre rétablir la Russie impériale. L’un chauffe ses admirateurs, l’autre terrorise ses contradicteurs ; les deux rassemblent leurs alliances, manipulent l’opinion… sur les mêmes recettes : immigration, criminalité, décadence, matières premières, nationalisme, suprématie mondiale, conquête spatiale...
Le nouveau monde raconté par ces illuminés est aussi une conquête religieuse Orient/Occident et politique démocratie/autocratie.
En embuscade : la Chine pour qui le temps ne compte pas pour dominer le monde et l’opportuniste Afrique en quête permanente d’une colonisation avantageuse. En réserve l’Iran, l’Inde et des centaines de dictatures sous le parapluie des antagonistes.
Mais qu’est-ce qui pousse l’homme à agir de la sorte ? L’instinct que la planète n’échappera pas à son explosion démographique et à son implosion cosmique. Seuls survivront les plus forts, ceux qui pourront s’extirper de cette finitude au détriment des autres. C’est la loi de la nature déjà appliquée dans les deux précédentes guerres par l’intermédiaire d’égos surdimensionnés légalement portés au pouvoir par les peuples.
Aujourd’hui, la menace n’est plus seulement verbale mais pratique : atome, numérique, poison, famine… et, comptable car l’issue d’une nouvelle guerre mondiale est encore inconnue. Mais, selon la chansonnette "je te tiens, tu me tiens par la barbichette…", la tapette nucléaire sera irréversible.
Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites ! Car le temps est proche. Apocalypse 1:3
Cercle d'études Reyer
Jean-Charles L.