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Novembre 2019 - selon ABC News puis CNN - les services de renseignements militaires américains avaient averti qu’un virus incontrôlable se propageait dans la région de Wuhan. Information renouvelée plusieurs fois au Pentagone puis à la Maison Blanche. D’autres agents du G20 installés en Chine confirment l'information au même moment aux Etats membres de l’Otan.
Car à cette date, un mystérieux incident s’est produit à Wuhan où deux militaires américains, présents aux Jeux mondiaux militaires, décèdent sur place d’une maladie inconnue. Rapatriés par l’armée aux USA ils sont découverts porteurs d’un dérivé du SRAS. Or, Wuhan est la seule ville en Chine dotée d'un laboratoire P4* depuis 2017.

Docteur Li Wenliang

Décembre 2019, Li Wenliang, docteur à l'hôpital central de Wuhan reçoit un premier malade, puis 7 autres, qu’il diagnostique SRAS. Ils travaillent tous au marché de gros en fruits de mer de la ville (11 millions d’habitants) à proximité du laboratoire haute sécurité P4 qui fait l'objet de rumeurs.
Aussitôt il lance une alerte sur les réseaux sociaux médicaux. Immédiatement arrêté par la police chinoise pour "avoir fait de faux commentaires sur Internet". Provisoirement libéré contre son autocritique "qu'il perturbe l’ordre social"  et l'injonction menaçante des autorités qu’il doit "cesser ces actions illégales" sous peine d'être poursuivi par la loi et de perdre son travail.
Février 2020  le docteur Li Wenliang meurt en direct sur son compte Twitter après avoir soigné des malades du virus, déclenchant la colère de l’opinion chinoise devenue lucide.
Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, publie alors une vidéo du directeur des Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) déclarant devant le Congrès que les deux américains rapatriés que l’on croyait morts de la grippe saisonnière avaient été trouvés porteurs du nouveau coronavirus.
Les réseaux sociaux chinois, depuis Hong Kong, rapportent que la délégation américaine aux Jeux mondiaux militaires, disputée en octobre 2019 à Wuhan, aurait pu apporter le virus en Chine et accéder au laboratoire P4. Selon le Hong Kong Free Press, “si la Chine avait immédiatement rendu publique l’existence de Covid-19, il y aurait aujourd’hui 95% de malades en moins sur la Terre”.
La plupart des dirigeants occidentaux prévenus n’ont pas osé contredire les deux premières puissances mondiales ; l’une minimisant la gravité du virus, l’autre feignant l’ignorance… Ils se sont lourdement trompés : 3,5 milliards d’humains confinés, 1,25 milliards en perte d'emplois, 500 millions menacés de pauvreté, 160.000 morts, une récession mondiale de -3,5% cette année.

*Eclairage sur les laboratoires P4 ou BSL-4
La création des laboratoires P4 ou BSL-4 est la conséquence directe de l'incident de laboratoire survenu en Allemagne en 1967 à Marbourg, à l'usine Behring, qui produisait des vaccins. Des chercheurs ont ainsi été contaminés par le virus MARV
 qui a provoqué une fièvre hémorragique, apparenté au virus Ebola.
Pour pénétrer dans ces laboratoires, les chercheurs doivent prendre une douche, revêtir un scaphandre (sous pression positive de telle sorte qu'en cas de déchirure accidentelle de la combinaison, l'air sortira du scaphandre, plutôt que d'y rentrer). En sortant, elles prennent une douche au phénol revêtues de leurs scaphandres et des caméras surveillent continuellement l'activité.
Il existe 32 laboratoires "haute sécurité" dans le monde, dont 3 en France (INSERM, DGA5, IRBA- SSA6) qui manipulent et transforment des virus à haut pouvoir de dissémination et à haut taux de mortalité, comme la variole, l'infection Nipah et aux autres Henipavirus, etc.
Le laboratoire P4 de Wuhan, unique en Chine, construit en 2017 en partenariat avec la France, au cœur de l’Institut de Virologie de l’Académie chinoise des Sciences, étudie les pathogènes très dangereux parce que mortels, pour lesquels il n'existe ni vaccin ni traitement comme Ebola, Lassa, Machupo, Coronavirus dont le Sras (2003) puis le Covid-19 (un mutant capable de s’adapter à toute situation).
La revue scientifique britannique Nature révélera que la formation des chercheurs s'est faite en collaboration avec l'Institut Pasteur et exprimera de vives inquiétudes sur cette manipulation génétique des virus (dont le WX qui a tué Kim Jong-Nam en quelques secondes à l’aéroport de Kuala Lumpur). À l’époque, le virologue Simon Wain-Hobson, de l’Institut Pasteur, s’était ému publiquement sur la possible fuite d'agents pathogènes de ce laboratoire : “si le virus s’échappe, personne ne peut en prévoir la trajectoire”

Tag(s) : #Démocratie
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