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Se réfugiant malignement derrière la "volonté" de son atone conseil municipal, le maire du Lavandou fait avaler ses décisions arbitraires à ses administrés.
D’abord, sur le PLU, un serpent de mer qui a pris 4 ans en rebondissements et modifications avec un arrière-gout d’inachevé et de tensions inutiles.
Puis, l’arrêt en fanfare de nouvelles constructions de logements sociaux puisque "le Lavandou n’a pas vocation à accueillir une population mal logée ailleurs". Une singulière ambition affichée de contenir l’évolution de la population qui… disparaît perfidement chaque année.
Plus surprenante, la volonté tardive "de se mettre en conformité avec la loi Grenelle et de prendre en compte les risques naturels tels que les feux, les inondations…".
O
n croit rêver devant cette démarche de contrition face à ses coupables pêchés : un Ehpad en zone inondable, une longue procédure contre le SDIS, des permis à répétition sur les terrains de la Drôme, des emprunts en rengaine, un pont écroulé par négligence, un port privé sur le domaine maritime au Cap Nègre, un parc national rejeté par référendum…
Quant à la protection du patrimoine, dont la Villa Théo serait le fleuron, qu’en est-il de la destruction irréparable de la Villa Reyer dès son élection ? du bétonnage à gogo du "cœur de village", des larges subsides aux amis, de la crasse carbone des nombreux feux d’artifice…

Inévitablement, cette politique du "repli sur soi" concentre un paradis d’inactifs empêchant la jeune sève d’entrepreneurs de s’y installer. Tout doit rester figé, jusqu’au "Restanques de Saint-Clair", labourées à l’ancienne à la charrue chevaline.
Cacophonie d’"une ville qui bouge" où 20 parasols et 8 cabines de plage sont parfaitement ridicules en comparaison de la grande plage des années 20. A cette image d’Epinal manque le Casino, le Grand Hôtel, les tartanes, les filets de pêche et le personnel municipal travestis en pescadous. Le village d’Astérix en serait plus original que des voitures anarchiques, une grande roue hideuse et des trottoirs obstrués de passe-droits lucratifs.

Les trois coups du petit théâtre municipal sont frappés pour attirer l'attention des spectateurs sur l’originale pièce "Le Lavandou first" écrite à une main, au siècle dernier.

Tag(s) : #Le bêtisier du maire, #Démocratie
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