"Je préfère mourir du Covid que mourir de faim aujourd’hui" hurle cette maman face à un rondelet policier l’empêchant de travailler dans la rue avec ses deux enfants en bas âge.
Les « sachants » gouvernements ont déjà causés stupidement la mort de 14 millions d’êtres humains dans le monde abandonnés à leur sort par insécurité alimentaire.
Dans leur précipitation à fermer les frontières aux étrangers et aux marchandises, les conséquences s’avèrent plus importantes que la cause première. A l’image de ce maire espagnol pulvérisant ses plages d’eau de Javel pour préserver son tourisme ou d'un certain président suggérant de la boire...
Un manque de discernement de nos illusionnistes déversant des milliards de subventions contre le viral incendie. Les moins chanceux devront faire face à la rancune populaire, les plus veinards auront leur buste au Capitole.
D’ailleurs l’ONU annonce la couleur “Le nombre de personnes souffrant sévèrement de la faim pourrait doubler en raison de la pandémie de Covid-19, atteignant alors plus de 250 millions d’ici la fin de 2020”.
Inadmissible en Europe quand la plus petite paroisse tente, comme elle le peut, de nourrir les démunis à défaut de les soigner. Notre conception toute occidentale s’oppose à ce mépris ailleurs de la vie. Encore que les mensonges de nos Etats "démocratiques" se sont multipliés au fil de la pandémie. D’abord ignorée en France jusqu’au 15 mars (restez chez vous: allez voter) puis contestée (tout est sous contrôle) et enfin combattue à la mode Maginot...
Cela doit nous faire réfléchir sur la prochaine guerre bactériologique qui dort dans les cartons de l’hégémonie mondiale. Et, à une échelle bien plus petite, aux manipulateurs que nous élisons dans nos communes.