Une chaîne de responsabilité politique, de droite comme de gauche, a donné des coups de pied angéliques dans la fourmilière djihadistes. Libye, Syrie, Irak, Soudan, Mali, Iran… Européens, américains et alliés ont ouvert la boite de Pandore, liquidant imprudemment les dictateurs qui nous servaient de remparts contre le Djihadisme. Ben Laden, éxécuté en 2011, a semé à travers le monde des bombes à retardement.
Le bilan est affligeant pour les chrétiens : lot de réfugiés politiques, aides humanitaires, engagements militaires, terrorisme incontrôlable, disputes européennes, destructions de villes… les forces du mal sont parties à l’assaut des infidèles. Ceux qui ont tout, contre ceux qui n’ont rien d’autre que leur foi. Avec l’aide du Prophète, ils repartent en croisade mais dans l’autre sens, chez nous, semant le malheur au fil d’attentats aveugles. Une nouvelle guerre de religion débarque à la dimension d’une planète. Pas seulement technique mais surtout psychologique.
La question des responsabilités n’est plus à l’ordre du jour. La vraie question est comment sortir de cette escalade qui profite à l’extrême droite noyant les réseaux sociaux de son prêche. Notre maigre réponse est de faire bloc dans le refus des d’égoïsmes portés par les médias comme un modèle de société.