26ème et dernière lettre de l’alphabet latin, la lettre Z ne fait pas partie de l’alphabet cyrillique de la langue russe. Elle appartient plutôt à la mythologie qui plonge son histoire dans l’alphabet Etrusque. Elle fut d’ailleurs supprimée au IXe siècle av J-C comme maléfique et inutile par les romains puis réintroduite au 1e siècle avant J-C par l’usage du grec ancien.
Cette lettre Z est l’attribut du « va et vient » de l’éclair du dieu Ammon et du feu détenu par Zeus. Chez les Hellénistes elle symbolise la foudre qui tombe du ciel et frappe en zigzag la Terre et les hommes. Cette interprétation se retrouve dans le Trident à trois dards de Poséidon : le premier pour avertir (tonnerre), le second pour punir (éclair), le troisième pour détruire (foudre).
L’utilisation du Z comme étendard à l’invasion russe vers l’ouest n'est que l’expression subliminale d’une guerre Sainte que confirme la locution russe "Za pobedy" (pour la victoire), tandis que pour l’Occident le Z n’est que l’alliance entre la fin et le début d’un cycle (relié jusqu'à la fin du XIXe siècle par le & - 27éme lettre ).
Derrière chaque dictature existe une symbolique qui puise ses racines dans le passé pour flatter ou exalter la relation du faible au fort.
Rien à voir donc avec le justicier masqué défenseur des pauvres contre l’oppression espagnole. Ni avec un homme politique à la recherche d’une mairie dans le Var, dont la volubilité guerrière se rapproche dangereusement de l’autocratie.
Zut alors !
Cercle d'études Reyer
Jean-Charles L.