Le signal est donné aux caciques de l’écharpe tricolore : agir ou partir !
Une nouvelle génération entre sur la scène politique. Plus incisive, plus jeune, déterminée à œuvrer dans l’action citoyenne. Elle exige des résultats immédiats dans la mutation annoncée de nos institutions et les arapèdes de la cordonite peuvent préparer leur valises. La demande est sur tous les fronts : sécurité, santé, emploi, fonction publique, environnement, territoire…
Le nouveau 1er ministre et son gouvernement n’ont pas l’intention de prendre des gants pour faire bouger les lignes. Ils sont pressés par les sondages et le mécontentement général. C’est une demande des Français usés par les passe-droits, la justice enlisée, l’enrichissement sans cause, la voracité fiscale, l’administration tentaculaire, la dette abyssale, l’inflation, le mal-vivre … Cette nécrose hisse lentement et sans efforts une droite doctrinaire en contrepied d’une République qui prend l’eau jusqu’à Bruxelles.
Il s’agit de réparer au plus vite nos erreurs à ce travail d'autodestruction où nos élus se sont endormis dans le confort de fonctions électives et le communautarisme des partis. L’état des lieux est perceptible tous les jours : habitat débridé, environnement détérioré, marché recelé, fonds détourné, corruption dissimulée, élection manipulée, fiscalité exagérée… La longévité d’un élu à tous les échelons de la Nation n’est plus gage d’efficacité mais suspecte de mystification et de manipulation. Les tribunaux de France en témoignent.
Place à la détermination - des ministères à la plus petite commune - même si les critiques pleuvent du côté des opportunistes de l’ancien temps.
Cercle d’études Reyer
LERDA Jean-Charles