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Monsieur Gil Bernardi, maire du Lavandou, ne veut pas de l'intercommunalité vers Bormes, La Londe, Cuers et Pierrefeu. Pour l'éviter, vous le savez maintenant, il échafaude quelques stratagèmes fumeux vers l'Est, c'est à dire vers les douze villes et villages du golfe de Saint-Tropez.  On se demande encore ce que notre commune pourrait y faire et ce qui pousse le maire, otage de la liste majoritaire Regain, à vouloir nous l'imposer ! la-verite2Un prochain vote en conseil municipal est prévu. La voie de la logique la plus élémentaire risque d'être abandonnée pour se diriger vers une impasse qui nous imposera bientôt un périlleux demi-tour ! Que de temps perdu !  Pour entendre un autre point de vue sur ce sujet, Il nous a paru intéressant de publier, à notre seule initiative, quelques extraits publics de la dernière présentation des vœux 2010 du maire de Bormes Les Mimosas, vice président du Conseil Général,  Monsieur Albert Vatinet. Nous vous laissons juge du bon sens de cette déclaration :

.../... Cette réussite, je la souhaite également à notre canton, aux communes de Collobrières et du Lavandou. Je la souhaite aussi aux communes de La Londe, Pierrefeu et Cuers avec lesquelles Bormes tisse des liens de plus en plus étroits. Madame, mademoiselle, monsieur, depuis 2001, je présente, chaque année, les vœux du maire de Bormes les Mimosas et ceux du conseiller général du canton de Collobrières.
Les vœux du conseiller général, d’abord, si vous le voulez bien. L’intérêt général est le souci permanent du président Lanfranchi et des conseillers généraux qui l’entourent. L’intérêt général, c’est-à-dire l’action sociale, qui absorbe plus de 50 % du budget, l’enseignement, la culture, la jeunesse, le sport, l’aménagement du territoire, la défense de l’environnement et du patrimoine varois, la sécurité, l’aide aux communes, les infrastructures et les transports. Malgré une baisse de ses recettes, le conseil général continuera à assumer l’ensemble de ses compétences, sociales en particulier, et à assurer l’aide aux communes, comme il s’y est engagé. Dans le domaine des infrastructures routières et des transports, au sein de la délégation dont j’assure la présidence, nous sommes parvenus à mettre en place Var Lib et la tarification à 2 € des voyages en autobus dans tout le Var pour inciter les varois à utiliser les transports en commun. L’effort du département en la matière est considérable. Mais le choix politique, économique et social a été fait de favoriser et développer les transports en commun, la sécurité routière et le respect de l’environnement. Nous analyserons régulièrement les résultats obtenus et tiendrons compte des avis des transporteurs et des usagers pour en améliorer les résultats. Mais le résultat essentiel est tout de même là : avec 2 € vous pouvez vous déplacer partout dans tout le Var.

Rappelons rapidement que, à la suite des inondations catastrophiques dont a surtout été victime Le Lavandou en décembre 2008, j’ai obtenu du département la reconstruction en urgence du pont des Bugadières sur la Vieille et une aide immédiate de 200.000 € au bénéfice du Lavandou. Toujours au Lavandou, j’ai obtenu du département la requalification du rond-point de la 1ère DFL, la requalification du chemin du Repos et la construction du giratoire de la Saint-Glinglin. Le département et moi-même sommes particulièrement fiers de cette réalisation qui complète l’aménagement de la RD 559 et fluidifie la circulation. Fêtons donc ensemble la Saint-Glinglin.

Par ailleurs, la commission permanente du 2 novembre 2009 a accordé à la commune du Lavandou, une subvention de 387.000 € pour des travaux le plus souvent liés aux inondations. Pour les mêmes raisons celle du 16 novembre 2009 lui a accordé une subvention de 114.000 € pour la réfection de la piste d’accès au réservoir de l’Aragail à Cavalière. Enfin, un courrier de la déléguée générale du conseil général à la Solidarité et à la Vie Sociale me confirme qu’un arrêté conjoint, préfecture du Var / conseil général, autorise la création d’un E.H.P.A.D., établissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes privé commercial sur la commune du Lavandou qui a reçu un financement en fonctionnement, à hauteur de 583.421 € (Bormes 122.276 €. Collobrières 225 818 € Le Lavandou 235 325 €); en investissement, à hauteur de 1 339 900 € (Bormes 545 900 €. Collobrières 293 000 €.  Le Lavandou 501.000 €)

".../...Par ailleurs, vous le savez, chacune des communes varoises est déjà rattachée à son territoire qui est celui du SCOT auquel elle appartient. C’est le cas de Bormes et du Lavandou qui appartiennent au SCOT, schéma de cohérence territoriale de l’aire toulonnaise. Dans ce cadre, les communes présentent des projets structurants d’intérêt général. Ces projets, s’ils sont retenus, sont inscrits dans un contrat de territoire et subventionnés par le département. Dans ce contrat, sont retenus, entre autres : les projets suivants : la mise aux normes de la STEP Bormes le Lavandou. l’acquisition par Bormes de terrains destinés à des logements sociaux, l’EHPAD, de Bormes pour l’hébergement des personnes âgées dépendantes, les aménagements externes de la structure multi-accueil de Bormes. L’aménagement du front de mer de Cavalière au Lavandou, la réalisation d’un complexe piscine-salle de spectacle au Lavandou. Les subventions, bien sûr, ne sont versées que lorsque les travaux sont budgétisés par les communes et commencés.

Pour toutes ces raisons, je voudrais, avec vous, rendre hommage à l’action du conseil général et remercier son président, mes collègues élus et les fonctionnaires, autour du directeur général des services, Patrick Heintz, ceux des routes et transports, plus particulièrement, autour de leur directeur Alain Pruvost. Jusqu’aux échéances électorales de 2014 et la mise en place de la réforme territoriale, le département continuera à assumer les compétences que nous lui connaissons aujourd’hui..../... économique de notre commune. C’est pourquoi, dans le cadre de la commission départementale d’aménagement commercial, en tant que conseiller général, je n’ai pas hésité à soutenir pleinement, aux côtés de Gil Bernardi, il y a quelques mois, le projet d’extension, sur Le Lavandou, de l’établissement Carrefour, ex Champion. La commission départementale d’aménagement commercial (CDAC), présidée par Mme le sous-préfet réunit, les services de l’Etat, les représentants des usagers, et quatre élus dont le maire de la commune concernée et le conseiller général du canton. Dans la même logique, j’ai soutenu, en qualité de maire de Bormes les Mimosas et conseiller général, le projet d’extension présenté, sur notre commune, par la société Casino. Ne pouvant me confier qu’une casquette, la préfecture m’a conservé celle de conseiller général et a confié celle de maire à Gil Bernardi, notre plus proche voisin, ce qui est tout à fait logique dans le cadre de notre bassin de vie. Cette société dispose de droits à construire depuis son origine. Elle souhaite les réaliser, désormais.Ce projet s’inscrit dans le cadre du schéma départemental d’équipement commercial du Var dont les enjeux sont de deux ordres. Je cite : "d’une part développer une offre commerciale en complémentarité de l’offre du pôle de La Valette-Grand Var, d’autre part, renforcer les positionnements commerciaux des centres-villes à l’Est de Toulon La Valette. Ce projet est donc conforme aux préconisations du schéma départemental d’équipement commercial du Var" (fin de citation). Ce projet ne peut être mis en œuvre dans le cadre du POS actuel. C’est donc un avis favorable de principe qu’il a obtenu malgré l’opposition du maire du Lavandou. Je souhaiterais que le développement logique, nécessaire et inévitable de Bormes soit compris et conçu dans celui de notre bassin de vie. C’est l’avenir qui se dessine et les élus actuels doivent accepter de le préparer du mieux possible dans le cadre que l’état met à leur disposition. Ce projet, créateur d’emplois, sera donc mis en œuvre dans le cadre du PLU. Nous n’oublierons pas, que nous avons énoncé, en campagne, en 2008, les cinq enjeux qui sont devenus pour nous les cinq objectifs du mandat. Avons-nous avancé ?

La mise aux normes européennes de la station d’épuration

Quel est le fondement même de la délégation de service public et d’un appel d’offre ? Obtenir la meilleure garantie de la qualité du service rendu, au meilleur prix. Deux offres remarquables allant au-delà, chacune, des critères européens que nous devons respecter, nous ont été présentées en 2009 et le critère prix a été déterminant dans leur classement : 2.6 M€ HT de différence entre elles. Les délégués du Lavandou ont voté contre ce classement. Ceux de Bormes ont voté pour. Deux votes contre, deux votes pour dont le mien qui, parce que je suis président du SIVOM, a été prépondérant. C’est la loi. J’avais été le seul, avant les élections, à annoncer que la mise aux normes européennes de la station d’épuration entraînerait une inévitable et importante hausse de la facture payée par les usagers. Cette hausse sera donc moins forte que prévue mais restera importante. Il faut le savoir. C’est pourquoi, à Bormes, sur la part qui implique la commune dans le prix à payer, nous avons déjà décidé de diminuer la surtaxe assainissement des Borméens de 13.4 c d’euros .../...
Nous essaierons de poursuivre ce type d’effort mais ne parviendrons pas à annuler totalement les effets de la hausse. Cela aussi, il faut le faire savoir et le dire. Ultime information à ce sujet : le préfet du Var a arrêté le planning de la réalisation des travaux : ordre de service d’engagement des travaux au plus tard le 15 février 2010 ; mise en service de la nouvelle station d’épuration au plus tard le 30 juin 2011

Le Plan de Prévention des Risques d’Incendie de Forêts (PPRIF)

Je rappelle les raisons du retard pris par l’état dans l’élaboration de ce document qui en était arrivé, à Bormes, au stade avancé de l’enquête publique. Avis défavorable du commissaire enquêteur ; Départ du Préfet et de son directeur de cabinet ; Arrivée de M. Parant, nouveau préfet et d’un nouveau directeur de cabinet ; Mise en place par M. le préfet Parant, d’une commission présidée par Mme Corinne Orzechowski, sous-préfète de Draguignan. Première réunion de cette commission en préfecture le 21octobre 2009. Deuxième réunion le 14 décembre 2009.La volonté de l’Etat d’aboutir dans les meilleurs délais est évidente. La volonté de l’Etat de prendre en considération les situations les plus délicates l’est tout autant. Les élus borméens restent disponibles et vigilants.

Le plan local d’urbanisme (PLU)

Le Schéma de Cohérence territoriale a été voté à l’unanimité par les 32 communes membres du SCOT de l’aire toulonnaise. Le conseil municipal de Bormes a donné un avis favorable à

l’ouverture à l’urbanisation du quartier de la Gare. Nous sommes dans l’attente de l’accord préfectoral. Le préfet conditionnait son approbation de toute ouverture à l’urbanisation et du PLU à la réalisation des travaux de mise aux normes de la station d’épuration. Il a depuis arrêté le planning des travaux de cette mise aux normes. Notre station d’épuration actuelle est en parfait état. Elle a supporté sans inconvénient la saison estivale. Elle supportera la mise en place du PLU pendant les travaux de mise aux normes de la nouvelle station d’épuration. Dans notre bassin de vie Bormes-Le Lavandou, la situation économique des entreprises du bâtiment est très préoccupante. Le chômage augmente dramatiquement. Nos PME sont menacées. En cette période de crise, l’état invite les collectivités locales à redoubler d’initiatives et de dynamisme pour soutenir et relancer l’activité économique. Je demande donc à Monsieur le Préfet de permettre à la commune de Bormes de mener de front les deux dossiers de la mise aux normes de la station d’épuration et du PLU, de ne pas pénaliser l’activité économique et les emplois en nous obligeant à attendre la mise en service de la nouvelle station d’épuration pour approuver le PLU. Bormes perdrait toute l’année 2010, ce qui serait dramatique et incompréhensible dans le contexte actuel, de permettre à la commune de Bormes de commencer à étudier les dossiers présentés dans le cadre du futur PLU. Je ne pense pas que ces arguments soient illogiques, irréalistes ou provocateurs. Je m’emploierai à les faire reconnaître.

La renégociation du contrat de collecte et traitement des ordures ménagères

La délégation de service public est arrivée à son terme. L’appel d’offres a eu lieu. Ses analyses sont en cours. Nous en donnerons les résultats dès que possible. Nous développerons pour réduire les coûts, la collecte sélective et l’usage des composteurs.

La renégociation du contrat d’affermage de l’eau

Elle interviendra en 2011 pour prendre effet en 2012. Nous avons annoncé une augmentation de la facture à payer par l’usager en conséquence de la mise aux normes de la station d’épuration.

Le troisième défi que nous allons devoir affronter en 2010 est celui de l’intercommunalité

Tous nos enjeux sont importants, essentiels car ils engagent l’avenir. Celui de l’intercommunalité l’est davantage encore, sans doute, si on veut bien comprendre que c’est désormais en son sein que devra s’articuler la vie communale, la vie de nos concitoyens. Nous n’échapperons pas à la réforme des collectivités territoriales. Les échéances sont datées. En 2014 la réforme des collectivités territoriales entrera en vigueur autour de deux pôles,départements-régions et communes-intercommunalité collectivités territoriales sur la base du volontariat est encouragé. A défaut, le préfet délimitera lui même les territoires.        

Les décisions de l’état sont claires, les amendements à venir, prévisibles, n’en changeront pas l’esprit. L’intercommunalité, telle que nous la connaissons encore aujourd’hui dans nos syndicats, nos associations, le collège, l’EHPAD… va devoir se transformer pour se renforcer, inéluctablement. Les syndicats intercommunaux sont appelés à disparaître…La nouvelle organisation territoriale sera opérationnelle en 2014. Demain… entre 2010 et 2014, autour de nous, la métropole de Toulon et les communautés de communes existantes vont s’organiser. Sans nous ? Sans que nous manifestions nos idées ? Nos choix ? Nos aspirations ? Nos préférences ? Devons-nous encore attendre ? N’avons-nous pas déjà trop attendu ? J’ai, dans le dernier Bormes Infos, rappelé pourquoi nous n’avions pas, jusqu’ici, constitué avec nos voisins une communauté de communes. Les choses sont claires et elles sont connues. Je n’y reviendrai DONC pas. Je veux simplement réaffirmer avec force combien il me paraît déraisonnable et irréaliste que Bormes et Le Lavandou n’appartiennent pas à la même communauté de communes pour des raisons géographiques, historiques, sociales, économiques, humaines, sentimentales … chacune de ces raisons méritant, à elle seule, que Bormes les Mimosas et Le Lavandou se rapprochent au lieu de s’éloigner. Soyons clairs : il s’agit bien, pour nous, de conserver à nos deux communes leur identité et leur spécificité. Personne ne demande ni ne souhaite le retour à la situation d’avant 1913.

Par contre, il s’agit bien, pour nous, quand nos populations et nos intérêts se mêlent, d’envisager ensemble l’avenir. Aujourd’hui, nous ne pouvons plus tergiverser. Ce que nous ne saurons pas faire entre communes amies, solidaires et complémentaires nous sera imposé. La réforme territoriale supprimera l’isolement des communes. Si nous avons encore une possibilité de nous rapprocher de nos voisines, saisissons-la. L’ayant compris, les maires et les conseils municipaux de Bormes, Cuers, la Londe et Pierrefeu ont décidé de réfléchir ensemble, en amont de la décision et des échéances, de ne pas les attendre passivement, d’essayer de les influencer au lieu de se contenter de les subir.

Nos collègues de Cuers, la Londe et Pierrefeu sont là, ce soir. Je leur demande de nous rejoindre à la tribune. Gilbert Perugini, maire de Cuers, François de Canson, maire de La Londe les Maures, Patrick Martinelli, maire de Pierrefeu du Var. Tous les quatre nous manifestons ainsi notre volonté d’être unis et solidaires. Je vous demande de les applaudir chaleureusement. Nous allons proposer à l’état de nous regrouper dans la même communauté de communes tournée vers les Maures et nos côtes et les protégeant. La communauté des communes isolées, en quelque sorte…Sommes-nous certains d’être écoutés et entendus ? Complètement ? Partiellement ? Bien sûr que non… mais, au moins, aurons-nous essayé, puisque le regroupement, sous la forme du volontariat, est encouragé.

Nous étions 3 maires au nom de leurs 3 communes au départ : François De Canson, au nom de la Londe, Patrick Martinelli, au nom de Pierrefeu et moi-même, au nom de Bormes. Nos collègues de Collobrières et du Lavandou ont refusé de se joindre à nous. Gilbert Perugini, maire de Cuers, nous a proposé de l’associer à notre réflexion, ce que nous avons très volontiers accepté. Les conseils municipaux de Bormes les Mimosas, Cuers, La Londe les Maures, et Pierrefeu du Var ont, chacun, pris une délibération autorisant leurs élus à poursuivre leur travail de réflexion. Ces élus échangent et apprennent à se connaître. Nous commençons à mieux savoir ce que nous sommes susceptibles de nous apporter les uns aux autres. Ce que nos communes sont susceptibles de s’apporter, les unes aux autres. Nous nous écoutons et nous nous respectons. Nous savons que si, demain, nous voulons être solidaires, nous devons, d’abord, nous respecter et, à travers les élus, respecter les populations qu’ils représentent. Nous essayons de mettre en place les conditions de notre complémentarité. Nous pensons que notre réunion peut faire notre force. Nous n’avons, les uns vis-à-vis des autres, ni faiblesse, ni à priori. Elus par nos concitoyens, nous voulons qu’ils aient, avec leur commune, toute leur place dans notre communauté.
Alors, demain, où irons-nous ? C’est bien la question à laquelle nous essayons de trouver la meilleure réponse. Communauté de communes ?… Intégration dans la métropole toulonnaise ?… Personne ne peut le dire, aujourd’hui. Mais nous faisons entendre notre choix. En amont de la décision, nous avons la volonté d’être les partenaires de ceux qui la prendront, les interlocuteurs crédibles de ceux qui l’entérineront, des interlocuteurs actifs, forts de leurs atouts, des 33 000 habitants permanents qu’ils représentent, des interlocuteurs écoutés, des interlocuteurs solidaires. Tout cela monsieur le préfet le sait car nous le lui avons dit et écrit. Tout cela nos partenaires du département le savent car nous le leur avons dit et écrit. Tout cela, vous le savez. Voilà, madame, mademoiselle, monsieur, ce que je peux, ce soir, vous dire. Voilà ce que je veux que vous sachiez, dans tous les domaines de l’activité de vos élus et de votre maire. Ensemble, nous avons devant nous, un travail important à mener à son terme, dans chacun des domaines dont j’ai parlé ce soir. Ensemble, nous devons en 2010, avancer dans la voie des solutions. « Ensemble » c’est le mot dont je voudrais, avec vous, ce soir, souligner l’importance. Ensemble, comme nous l’avons fait jusqu’ici, nous continuerons d’avancer. « Seul, on a peut-être l’impression d’aller plus vite … Ensemble, on est sûrs d’aller plus loin… ». (Confucius) Merci de votre confiance qui va nous permettre d’aller, ensemble, le plus loin possible et le mieux possible. Bonne et heureuse année, à toi Gilbert, à Cuers et aux Cuersois, à toi François, à la Londe et aux Londais, à toi Patrick, à Pierrefeu et aux Pierrefeucains, Bonne et heureuse année à Bormes et aux Borméens. Vive la communauté des communes isolées,Vive Bormes les Mimosas, Longo Mai à tous, E à l’an che ven, che se sian pa mai, seguen pa men.

Je vous remercie de votre attention.

Albert Vatinet, Maire de Bormes les Mimosas Vice-président du Conseil général du Var .../...

Lire l'intégrale des voeux d'Albert Vatinet

Tag(s) : #Le bêtisier du maire
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