Chaque année, le maire sortant vante l’excessive fréquentation estivale du Lavandou ne se souciant guère des dommages environnementaux et sociétaux. Cela lui permet de toucher de substantielles aides publiques, de majorer ses revenus et de couvrir d’immeubles sa commune...
Les plages sont devenues une machine à cash, un casino municipal. Peu importe ce que l’on y fait dessus.
25 ans de Grande Plage : compétitions de quads, courses en sac, concerts géants, cinéma en plein air, caravanes publicitaires… écologiquement enjolivée du dessablement du port étalé à coup de cribleuses de sable… affublée d’une grande roue (en retard cette saison par une obscure intrigue municipale).
Comment les 6000 résidents permanents supportent-ils 110.000 estivants en été, sans se poser la question de la "monoculture" amplifiée par 25 ans d’infirmité municipale qui ont jeté notre station balnéaire "ouverte à l’année" sur les récifs d'un long hivernage de 8 mois…
N’attendez pas la réponse du maire sortant qui a viré pas moins de 4 directeurs "incompétents" de l’office de tourisme, 8 directeurs de port, quitté avec fracas le Syndicat Intercommunal de Développement Touristique (SIDT), ignoré le Syndicat départemental de Tourisme (CDT83), démantelé l’Association Lavandou Tourisme et l’Association des commerçants (UIL) trop indociles, jugé inutile le Summer Jazz, supprimé la Giraglia puis la Bordée Maltaise et la Bordée Belle Epoque et "judicieusement" le Corso 2020 (bien avant la pandémie)…
Le monsieur "JE" souffle le chaud et le froid sur "SA" propriété communale, imposant aux autres ses erreurs, ses errements et fantasmes de G.O.
Dans ces conditions comment entreprendre dans une municipalité où le système vous spolie - et parfois prend votre place - en toute légalité (Cf. expulsions au nouveau Port, Bassin Beaumont…). Faute de protection les investisseurs insoumis… sont priés de s’installer ailleurs.
Le maire sortant à la fois directeur de station, échevin du Romérage, Père Noel de la Saint Ignace, shérif toute l’année, champion de bonneteau, lauréat du flûteau… porte l’entière responsabilité du déclin du Lavandou. Son regard ne s’est jamais tourné vers l’industrie de la mer, l’écotourisme, le tourisme durable, l'artisanat local, la plaisance ou la pêche sportive… Il est resté confiné dans le siècle de la plume d’oie et des grimoires. L’avenir est derrière lui !
Lavandou Rassemblement, une vraie politique économique et touristique !