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Chaque parti a son « dress code ». Les protestataires affectionnent particulièrement la dominante rouge, tandis que les écologiques pencheraient sur le vert, les royalistes le bleu avec fleur de lys, les centristes l’orange…  Mais la cravate disparait avec le temps ou prend la sobre couleur noire (force et autorité) et s’installe dans la panoplie du gouvernement.
Dans une République où les signes ostentatoires sont inopportuns, il est intéressant d’observer l’apparence  vestimentaire d’un flatteur…  La cravate, plus discrète qu’un pin’s - autrefois très couru – ne coute quasiment rien, mais peut rapporter gros. 
Symbole de domination et de politesse, objet politique, effet de mode,  vieillotte, solidaire ou calculée… elle signe d’évidence l’appartenance à un groupe social dont le non port est contraire à la laïcité, dixit le règlement intérieur de l'Assemblée nationale.
Alors, ouvrons l’œil sur les candidats des prochaines municipales !
D’autant que le « dress code », débarrassé du code électoral, est déductible des charges de campagne

 

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