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main stop

12-03-2012. Selon le Rapport d’observations de la Chambre Régionale des Comptes du 28-11-2010, l’affaire SDIS repose sur des chiffres transmis par le maire du Lavandou.

…/…Le SDIS avait demandé aux communes du Var de lui communiquer des données relatives à leur population notamment la population estivale, propres à asseoir leur contribution respective. La réponse du maire du Lavandou, du 2 septembre 1998, à ce questionnement avait été "population INSEE: 5.500 et population journalière totale en période estivale (résidents et hébergés): 120.000 "
Dès la réception de sa première contribution, en 2001, la commune avait contesté son montant l’estimant trop élevé au regard d’une population réelle nettement inférieure. Le tribunal administratif de Nice, dans une décision du 24 novembre 2006, estimant que le SDIS ne pouvait pas justifier le chiffre de 120.000 habitants, pourtant communiqué par la ville, avait annulé les titres des exercices 2001 et 2002 ainsi que ceux des deux premiers trimestres de 2005. 
Le 30 juin 2008, la cour administrative d’appel de Marseille a rejeté le recours en annulation de cette décision formé par le SDIS du Var. Le tribunal administratif de Toulon, par plusieurs ordonnances du 12 novembre 2009, avait pris acte du retrait par le SDIS du Var des titres exécutoires de 2003 à 2009 (uniquement pour les trois premiers trimestres). Le tribunal administratif de Nice dans sa décision précitée analysait la situation en rappelant que même si la commune avait pu évaluer sa population estivale à 120.000 habitants elle avait ensuite reconnu qu’il s’agissait d’un chiffre exceptionnel atteint seulement certains soirs d’été (feu d’artifice). Selon cette décision, la commune compterait de 45.000 à 48.000 habitants en été pour une population permanente de 5.508 habitants les autres mois de l’année. 
L’arrêté préfectoral du 6 mars 2000, surclassant la commune, indiquait une population estivale de 44.942 habitants et une population moyenne de 24.360 habitantsSelon la juridiction administrative, un rapprochement avec les consommations d’eau potable, la production d’eau usée et le volume d’ordures ménagères, en 2003 et en 2004, ne permet pas de conclure que la population estivale atteindrait 120.000 habitants. 
Selon le SDIS, la commune ne peut pas prétendre ne pas avoir eu connaissance des clés de répartition et des modalités de calcul approuvées lors du vote de la délibération du CASDIS du 7 octobre 1998 puisque le recueil des actes administratifs du SDIS était adressé chaque semestre à chaque commune. Elle a également eu connaissance de sa population estivale telle que retenue dans le SDACR au moment où la préfecture du Var lui a transmis son recueil des actes administratifs. Mais, dans son mémoire en réponse, la commune a indiqué qu’elle contestait les données retenues et non pas la clé de répartition ou la méthode de calcul. Dans cette délibération, l’annexe 1, précisait que la population prise en compte était celle de la fiche DGF 1998 (de chaque commune), à savoir population INSEE, à laquelle sont ajoutées les résidences secondaires qu’enfin, la population estivale était celle mentionnée dans le SDACR. Le calcul de la population réelle résultait alors de l’équation suivante : [(population INSEE * 10) + (population estivale * 2) / 12. La commune avait alors déclaré à tort une population estivale de 120.000 habitantsROD SDIS DU VAR 24/50 
En définitive, les titres des années 2001 à 2008 ont été annulés en 2009 à hauteur de 7.385.371€ (mandats d’annulation n° 6021 à 6052) et des titres nouveaux ont été émis à hauteur de 6.476.854 € pour lesquels demeure un reste à recouvrer de 319.265 €, au titre de l’exercice 2008. A ce jour, la commune conteste à nouveau chacun des titres émis trimestriellement. Des frais de contentieux non négligeables sont donc ainsi comptabilisés par les deux parties. La commune du Lavandou devrait être invitée à mieux expliciter les critères qui, selon elle, seraient les plus représentatifs pour asseoir les contributions communales…/…

 

22-12-2011
main stopVoilà plus d'un mois que nous avons connu les dernières fortes pluies ! Heureusement les conséquences ont été limitées par la vigilance des citoyens. A Cavalière, le nettoyage des routes, des embacles, des rus et des cours d'eau ne semble pas être la priorité des services techniques, sous ordre de l'adjoint aux écarts aux abonnés absents... Ainsi certains citoyens sont contraints de prendre eux-mêmes les choses en main dans la plus grande indifférence municipale...003.JPG

 

 


31-10-2011

main stopLa mairie du Lavandou est en défaut de remboursement des commerçants du Quai Baptistin Pins pour leurs travaux engagés dans le cadre du plan Fisac (Fonds d'Intervention pour les Services, l'Artisanat et le Commerce). Ce plan est une participation financière de l'Etat mais aussi de la mairie pour améliorer les vitrines et abords extérieurs des commerces .

Différentes phases permettent le dépôt de dossiers avec devis des travaux, terrasses et ouvertures à effectuer, puis de les transmettre en mairie à charge pour elle de les traiter. La somme à laquelle les commerçants ont droit représente 30% des devis déposés pour accord ainsi qu'un apport de la mairie non précisé, mais dont le montant est équivalent selon les textes en vigueur. 
Pour les commerçants du Quai Baptistin Pins, 3 phases étaient à respecter impérativement - car le plan Fisac se réalise par déblocage successifs des fonds - toutes dépendantes de l'accord de la phase précédente. Ainsi la phase 2 n’est engagée qu’après l’accord sur la phase 1 par le Fisac, idem pour la phase 3. 
Or, le maire du Lavandou a fait effectuer les travaux relatifs à la phase 3 sans se préoccuper des règles du Fisac et découvre un peu tard que ses services n'ont pas fait leur travail, puisque le dossier final phase 2 incombant à l'équipe précédente n'a jamais été déposé au Fisac. Comme à son habitude, le maire essaie de faire "porter le chapeau" à l’ex-animatrice qui n'a aucune responsabilité sur le fonctionnement municipal. Ainsi, la remise des documents préalables phase 2 avait bien été faite en son temps par elle à la mairie, mais jamais traitée (information confirmée par le Directeur des services fin 2010 et par mail reçu du Fisac le 30 septembre 2011). De ce fait, le maire devant "l'oubli" de ses services cherche à masquer son incompétence, trouvant un bouc émissaire en la personne de l’ex-animatrice. Ceci est une mystification insupportable et démontre son incapacité à proposer une quelconque solution. De plus, en mettant fin unilatéralement au contrat de travail de la seule personne ayant la connaissance du Fisac et qui aurait pu arranger l'affaire, le maire bloque la démarche auprès de cette institution.
En résumé, le dossier phase 2 a bien été déposé à la mairie en son temps, mais enterré pour une raison inconuue, malgré les relances permanentes de l’ex-animatrice. En conséquence, le dossier complet phase 3 avec les factures ne peut être déposé au Fisac. Tout serait déjà intégralement terminé si la mairie avait fait son travail correctement.
Cette explication, rétablit la vérité des faits et toute autre interprétation n'est que mensonge. Si les commerçants concernés n'obtiennent pas ce qui leur a été promis, ils doivent s'adresser directement au maire, qui est responsable de cette situation et seul habilité à faire le nécessaire, pour qu'ils essaient de récupérer la partie financière promise par la municipalité.


30-05-2011

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Le maire du Lavandou a commis une manipulation hors norme de l’opinion à l’occasion du référendum du 22 mai 2011 sur l’extension du périmètre de Port-Cros.
Acte 1
Le cumulard maire du Lavandou est aussi Président du syndicat des élus du littoral varois. Il lui fallait mener la fronde contre l’Etat pour resserrer les rangs de ses adhérents et montrer l’exemple afin de ne pas risquer un débordement par le maire d’Hyères, candidat à la succession de cette présidence et à l’initiative d’un nouveau syndicat plus ouvert… Mais il lui fallait aussi laver l’affront répété des fonctionnaires de Port-Cros à son encontre et la mise en minorité des élus du littoral au conseil d’administration de Port-Cros.
Acte 2
Seul, il ne peut rien faire. Il lui faut donc légitimer sa position par le soutien de son Conseil municipal – ou plutôt de l’association Regain - toujours prête à en découdre sur ordre. Chose faite le 11 février 2011 où il est décidé de consulter la population par référendum, histoire de faire monter les médias… qui n’y apporteront aucun écho !
Acte 3
La médiatisation locale est pour lui un jeu d’enfant et l’argent du contribuable est disponible (4000 € d’après lui – certainement 3 à 4 fois plus d’après nos calculs) pour défendre sa «  noble cause ». Habilement, 4 réunions d’information sont montées à la hâte dont 3 clairement orientées sur le NON, puis une Gazette spéciale (au frais du contribuable ) est éditée, enfin un habile courrier électoral dont la partie Port-Cros est un montage tiré d’internet, à l’insu des intéressés. Entre temps un député iconoclaste accourt des Pyrénées Orientales pour défendre le « courage » du maire tandis que le député auteur de la loi est précipité contre son gré dans le traquenard d’une salle hostile, déjà chauffée par 2 réunions partisanes contre Port-Cros.
Acte 4
Le 22 mai 2011, seulement 37,19% des lavandourains se déplacent pour voter massivement NON. Pendant que Regain jubile, le maire, qui lui, fait grise mine, se dépêche de communiquer sur les 88,92% de NON qui, selon lui, marqueront un coup d’arrêt à ces prétentieux fonctionnaires parisiens… Pourtant il n’y a pas de quoi pavoiser…
Acte 5
Observateur silencieux, l’Elysée n’a rien dit mais n’en pense pas moins sur l’audace de cette attaque qui vient de ses rangs. D’autant que l’auteur de la loi des parcs nationaux est un ami du président qui l’accompagne souvent dans ses déplacements, comme celui de Bormes, le 19 mai, veille du référendum. Le maire n’a pas été invité à profiter de ce podium pour s’exprimer sur le sujet du référendum. Motus et bouche cousue !... Le président n’a pas eu un mot pour Le Lavandou et son actualité. Il a félicité les maires de Bormes et de La Londe, sans un regard pour celui du Lavandou.. Tout cela se réglera le moment venu, murmure-t-on, dans les rangs de la majorité.
Epilogue
En réfléchissant un peu, les lavandourains se rendront compte qu’ils ont votés pour rien puisque la charte, qui sera soumise à enquête publique, avant le vote des communes concernées n’est pas encore écrite, ni même débattue. Le maire du Lavandou s’est ainsi distingué dans un dossier prévu en 2015, après les municipales, sur l’extension du Parc national en occupant une position à contrecourant de l’opinion nationale. Cette mise en scène a été négligée lors de son choix de rejoindre l’intercommunalité située à l’Est, que le préfet s’est empressé à juste de titre de replacer à l’Ouest… ou d’ouvrir de nouveaux emprunts plutôt que de rembourser une partie des 17 millions € que doit encore la commune aux banques
Et maintenant ?
L’onde choc du référendum n’est pas encore perceptible. Ce vote de mi-mandat a été un cadeau pour les opposants du maire avec des informations précieuses sur la méthode et sur l’électorat. Il a aussi permis de nouer des alliances utiles pour le moment venu. L’opposition a repris ses marques et tisse son réseau au sein d’un pouvoir de plus en plus contesté. Laissons le temps au temps… 

 

11-04-2011
main stopLa fermeture de trois classes au Lavandou par l’inspection  académique reflète 16 ans d’immobilisme  de politique municipale en faveur des jeunes, l’accession aux logements et  la création d’emplois . Le maire du Lavandou ne peut qu’apprécier son bilan d’errements et de manque d’ouverture aux autres, depuis  trois mandats. Il démontre les limites de son pouvoir absolu, muselant l’opposition, maltraitant les récalcitrants, estant en justice à tout va. Il a divisé chaque jour un peu plus les citoyens  empêchant l’harmonie et la prospérité au profit d’un clan de privilégiés, applaudissant à toutes ses décisions contre productives. Aujourd’hui, il tente tardivement de faire illusion sur l’arrivée prochaine (dans 3 à 5 ans)  de 200 à 300 enfants avec le PAE Village dont la première pierre serait posée en septembre…2011 !  ou d’une future maison de retraite,  avec une cinquantaine d’emplois. Avenir brillant de perspectives pour une commune comptant déjà 30% de retraités parmi sa population et bel écran de fumée destiné à masquer l’absence de projets structurants depuis 1995 au Lavandou. Indignons-nous sur la façon résignée de communiquer du maire qui devrait plutôt organiser une pétition, une manif (qu’il laisse à la FCPE83), un appel sur Facebook ou une campagne de presse  pour faire plier l’Académie. Aujourd’hui, son intercommunalité vers l’Est paraît bien superflue face à l’Education Nationale. Pas comme son référendum contre Port-Cros qui peut lui rapporter des électeurs qui lui ressemblent. 


08-04-2011
main stopUn élu "Regain" est propriétaire des murs d'un" établissement de bains de mer " (selon l'expression consacrée par le maire du Lavandou), à Cavalière, au pied du fameux Cap Nègre. Cet établissement de bonne notoriété a brulé voilà déjà quatre années dans des circonstances qui n'ont jamais été élucidées. Le même établissement, entièrement reconstruit et reloué depuis, vient d'être victime de la proie des flammes dans la nuit du 7 au 8 avril , vers 2h du matin, suivi d'une forte explosion , qui a soufflé l'entièreté des installations...Triste spectacle d'une vie de travail anéantie en quelques secondes ! Racket, vengeance, intimidation, assurances,  accident ? A l'heure ou nous écrivons ces lignes, nous n'en savons rien. La gendarmerie fait son travail et ne nous avancerons pas sur les hypothèses... Tout cela fait un peu désordre sous l'éclairage de notre gestion municipale idyllique  et ne donne pas une très bonne image de notre commune juste avant la saison ! Rappelons que voila deux ans, la mafia russe dessoudait à l'arme lourde, un de ses représentant patenté sur une plage du centre-ville au Lavandou ! A quelques dizaines de mètres de la résidence de villégiature présidentielle, cette nouvelle explosion  fait désordre ...Au pays de Bisounours et de Candy, la réalité semble moins jolie, dans le plus beau village du monde...

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07-04-2011
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Si la saison touristique parait bien engagée pour les communes voisines, le Lavandou est toujours à la traine en ce début d'Avril 2011, ce qui devient très préoccupant pour les professionnels en plein désarroi, qui restent sans véritable promotion de la commune depuis la saison passée. Le système de réservation en ligne n'a pas convaincu les hébergeurs sollicités à toujours payer plus,  choqués de verser un pourcentage sur le chiffre d'affaires  apporté par un Epic qu'ils financent déjà par la fiscalité locale. Ceux d'entre eux qui, bon gré, mal gré, ont accepté n'obtiennent pas les résultats escomptés. Pourtant les "états généraux du tourisme" d'octobre 2009, mis en scène par la municipalité, questionnaire et sondage orientés à l'appui, devaient faire révolution magistrale en accouchant  de cet établissement public industriel et commercial, confié à l'adjointe au tourisme et à l'animation, épaulée d' un directeur, spécialiste des sports d'hiver, et d'un aréopage de 9 élus Regain et de 7 professionnels locaux, suivi d'une dotation budgétaire de 450.000€, directement financée par la commune en attendant le relais de la taxe de séjour...Cerise sur le gâteau, le recrutement de prestataires, étrangers au village et à son économie, venus de Grenoble, pour assurer la publication des éditions de l'OT ainsi que la régie publicitaire à nos yeux illégale pour fait de concurrence déloyale à l'encontre des entreprises privées du village, a fini par agacer les "partenaires" cochons de payants.  Un magnifique pied de nez aux prestataires locaux, efficaces et tenant pignon sur rue ! Le budget explose déjà ! Il y a fort à parier que le budget 2012 de cet Epic approchera le million d'euros. L'association Lavandou Tourisme, moribonde malgré quelques tentatives d'acharnement thérapeutique s'est éteinte silencieusement dans l'indifférence générale. Petite bombe atomique locale, une autopsie de sa dépouille irradiée est en cours par la Chambre Régionale des Comptes, dont nous ne connaitrons les conclusions que dans quelques mois...la montagne accouche donc d'une souris de laboratoire.  L’apprenti laborantin maire du Lavandou joue à  la roulette russe sur ce dossier depuis 18 mois, alors que tout semblait devoir réussir. Tout comme l'Union des commerçants, il reste le maitre d'œuvre  omniprésent qui refuse de déléguer ses pouvoirs et veut tout décider. Tant de retards, de tergiversations, de pilotage à vue d'un pouvoir autocratique devient criant d'inefficacité.

05-04-2011

main stopProcédure d'attribution d'exploitation des plages . Toujours dans l'attente !... La commission de délégation de service public pour l'attribution des sous concessions des lots de plages s'est réunie le 14 février et  rendu procès verbal de cette réunion qui attribue les   lots :  8 Cavalière  - 1 Cavalière  - 7 Cavalière - 3 Aiguebelle -  4  Aiguebelle  - 6  Cavalière  - 1 Layet -  9 Cavalière -  2 Aiguebelle -  3 Cavalière -  2 Cavalière -  5  Cavalière - 1 La Fossette 1 Aiguebelle . Au 5 avril 2011 , ces attributions n'ont toujours pas été votées par le Conseil Municipal , ce qui interdit aux différents attributaires de préparer sereinement  leur saison, d'engager le personnel, les  frais et travaux d'aménagement pour enfin s'installer.  Il serait grand temps de prendre conscience  que les délégataires de" service public", statut passe-partout , servent les intérêts de la commune  et soient enfin respectés, et non pas traités comme la dernière roue du carrosse. Ils sont 14 dans l'attente  et l'inconfort moral ...Ce retard à la présentation des choix  de cette  commission aux élus du Conseil Municipal cache t'il quelque embarras au maire du Lavandou en fonction de candidatures non retenues ? Un peu de patience, nous savons tous que le favoritisme relationnel n'existe pas au Lavandou. C'est une légende  entretenue par cette vilaine opposition, toujours si prompte à tout critiquer ...

30-03-2011
main stopPas de petit train des plages au Lavandou pour la saison 2011 ? Par la faute du maire et la cupidité de l'ancien exploitant au détriment du créateur, Le Lavandou a perdu, le ravissant petit parc de loisirs du bassin Beaumont à Cavalière, où les enfants pouvaient piloter, seuls  ou en famille, un véritable petit bateau électrique. Il n'y aucun candidat à la reprise de cette activité, pourtant fort appréciée des estivants. Ce même exploitant n'a pas souhaité renouveler sa candidature pour l'exploitation du Petit train des plages , faute de parking nocturne en ville... Même constat: pas de candidat retenu... Il y a fort à parier que, malgré la relance dans l'urgence, de la  procédure,  la commune soit privée de Petit train des plages pour la prochaine saison. Dommage ! Le succès, malgré des tarifs trop élevés, était au rendez vous et le service rendu très utile à la commune. A vouloir trop gagner, on finit par tout perdre ! Retour de manivelle ! A vouloir tout régir, le maire du Lavandou impulsif hyper actif, s'est lamentablement planté !... mais ce n'est jamais de sa faute !

29-03-2011
main stop"Inutile et scandaleux ! " c’est en ces termes que les élus de la majorité ont accueillis à Paris l’information sur le référendum du Lavandou décidé par le maire UMP Gil Bernardi, opposé à l’extension du Parc National de Port-Cros. Et d’ajouter "...nous n’avons pas besoin d’un agitateur dans notre famille. Cet élu est en marge de la majorité départementale et de sa famille politique. Les communes concernées par l’extension du Parc National seront démocratiquement consultées en leur temps. Nous demandons au Préfet de ne pas autoriser cette dérive scandaleuse". Les maires des communes voisines ont été priés de ne pas imiter cette initiative, jugée comme une provocation contre le plan environnement du gouvernement

04-03-2011

main stopJe vais casser la baraque ! C'est, sans aucun doute, le raisonnement du propriétaire des murs de l'Hôtel Restaurant " Les sables d'Or à Saint Clair. Le 16 février dernier, une simple déclaration de travaux est déposée aux services de l'Urbanisme de la commune...( N°08307011H0017). A ce jour, 4 mars , elle est toujours en instruction et dans l'attente de réponse d'accord ou de refus... La politique du fait accompli  - en toute impunité -  est bien plus rapide et efficace que l'attente contraignante d'une décision administrative des services de l'Urbanisme... Donc, je casse tout, je démolis, je reconstruis et j'emm… tout le monde...on verra après ! et d'assurer à la cantonade "Le maire ne peut rien me refuser, c'est mon copain" (situation déjà connue au garage du rond-point de la Saint Glin Glin ...). C'est ainsi qu'à Saint Clair, l'Hôtel Restaurant des Sables d'Or se retrouve sans toiture, ni charpente, sans fenêtres ni murs intérieurs depuis plusieurs semaines. On déplore un bombardement de la dernière guerre? Pas du tout. Vous n'y êtes pas ! Entre autres délits, on constate : pas de permis de démolir, pas de permis de construire. Un changement de destination de l'immeuble.  (transformation en appartement), percement de nouvelles ouvertures. Sécurité du chantier inexistante malgré la réception de clientèle du restaurant toujours ouvert, ( Bail commercial en cours, locataire gravement lésé...). Ça se passe comme ça au Lavandou !

Tag(s) : #Le bêtisier du maire
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